Le samedi 1er Avril 2017, BeoogoLAB et la GDN ont Co organisé la journée Arduino (Arduino day) qui est commémorée par les informaticiens, électroniciens et toutes les personnes proches ou passionnées de ces disciplines.
Organisé par la GDN et BeoogoLAB Arduino day 2017 a été marqué par diverses activités dont quatre communications tenues autour de la carte Arduino et des objets connectés. Les communicateurs, Bertrand Paré, ingénieur informaticien et membre de la GDN, Serge Zaongo, ingénieur en électronique et automatisme industriel, Abdou Kaboré, ingénieur informaticien, Faishal Ouédraogo ingénieur informaticien tous bien imprégnés du sujet ont retenu l’attention des participants 2h durant autour des différents thèmes que sont : les objets connectés, les micros contrôleurs, les interactions objets et serveurs, et les interfaces utilisateurs graphiques
La première communication, celle de Bertrand Paré s’est agi d’abord de poser le décor avec une définition claire de la notion d’objet connecté, ensuite, la communication s’est poursuivie avec la place que va occuper ses objets dans nos vies dans un avenir plus ou moins proche. « en 2015, on dénombrait déjà à travers le monde 1,5 milliard d’objets connectés, ces chiffres traduisent déjà de l’ampleur que prendra les objets connectés dans les prochaines années » conclu-t-il.
Après la communication de Bertrand Paré qui a consisté à définir le thème, et à situer le contexte, le deuxième communicateur Serge Zaongo s’est entretenu sur différents points avec les participants notamment l’architecture matérielle des microcontrôleurs le rôle des capteurs, la récupération des informations sur notre environnement.
A leur suite, Abdou Kaboré, à lui axé sa communication sur les interactions avec les serveurs « pour qu’un matériel électronique communique avec un serveur, ils doivent au préalable être connectés au même réseau » a-t-il expliqué avant de passer la parole au quatrième communicateur Faishal Ouédraogo afin qu’il définisse le concept d’interface graphique, les étapes nécessaires pour leur mise en place, les critères d’une bonne interface graphique et enfin leur utilité pour les objets connectés.
Les participants ont alors pu se familiariser à la notion d’objets connectés pour ceux qui ne l’étaient pas, mais ont pu également se joindre au débat et donner leur avis sur la question.
Nadia Rabo jusque-là profane en la matière s’est dites émerveillée par tous ce que l’on pouvait faire avec la carte Arduino. « Vu que je ne suis pas du domaine, j’ignorais beaucoup d’aspects concernant les objets connectés et la carte Arduino, mais à travers ces communications, j’ai appris et je suis maintenant imprégné de ces sujets. » déclare t-elle